Au théâtre de la Reine Blanche qui accompagne ses créations, le comédien Mickaël Délis présente le troisième volet de sa Trilogie du Troisième Type, un opus jubilatoire.
A la mort de son idole David Bowie, Renaud Cojo est passé à la chanteuse Anglaise, d’origine Albanaise rendue célèbre via les réseaux sociaux. Sans aucune honte et beaucoup d’esprit il s’en explique dans un objet théâtral assez étonnant.
Avec Élise Roth et Léa Roblot, l’art du clown se conjuguent au féminin et au contemporain. Leur impayable duo explore d’une manière irrésistible ces déshonneurs humiliants et ses sentiments pénibles d’infériorités devant autrui qui gâchent la vie !
Marie Torreton porte avec une grandeur d’âme remarquable les récits de la résistante sur ses longs mois passés dans les camps de concentration où sans la solidarité de la sororité et la présence, coûte que coûte de l’art, la survie n’aurait été possible.
Au Théâtre du Chariot, la jeune compagnie Sept heures d'avance présente un spectacle de théâtre Verbatim, une forme artistique venue d’Amérique, pour s’interroger sur le temps qui passe et qui ne se rattrape guère.
Présentée à La Scala-Paris, cette adaptation glaciale du roman de Leïla Slimani dresse le portrait grinçant mais quelque peu convenu d’une femme malheureuse en ménage.
Avant le Théâtre des Carmes dans le cadre du Festival Off Avignon, la compagnie La CriAtura présente sa dernière création à la Scène nationale Châteauvallon-Liberté à Toulon.
Dans le bel écrin du Poche Montparnasse, Caroline Silhol reprend ce spectacle créé en 2010 qui rend un vibrant hommage à celle qui brilla sur les planches comme sur les écrans. Nostalgie quand tu nous tiens…
La compagnie La Poursuite du Bleu continue sa réflexion sur les dysfonctionnements de notre société. Après leur fable écologico-citoyenne, place aujourd’hui à la farce économique et politique.
À La Scala, la compagnie toulonnaise Hors Surface et son talentueux directeur artistique Damien Droin, présentent un spectacle acrobatique fait de chutes, de rebondissements et d’envols, autour d’une révolte intérieure.
Passionnée par le cinéma-vérité de Cassavetes, Pialat et Bergman, Aurore Paris signe, pour sa première pièce, un huis clos amoureux tragiquement incandescent, intensifié par la mise en scène de Vincent Menjou-Cortès.
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