Dans une interprétation intense et d’une grande finesse, la comédienne donne chair à la sensibilité tourmentée d’Adèle Bloom dans la pièce de Franck Harscouët, qui explore la folie psychiatrique. Créé au festival Off d’Avignon en 2022, le spectacle arrive désormais au Théâtre des Gémeaux Parisiens. À cette occasion, elle revient sur son parcours.
La pièce de Gérard Savoisien plonge dans le ténébreux cerveau du grand romancier du XIXe siècle livrant un combat avec sa folie.
Frêle silhouette qui n’a clairement pas froid aux yeux, la comédienne se glisse, au Théâtre des Gémeaux à Paris, dans les mots de Musset dans la mise en scène de Philippe Calvario. En faisant des Caprices de Marianne les élans du cœur d’une jeune femme en quête d’émancipation et de liberté, elle insuffle au personnage une belle modernité.
Au Théâtre des Gémeaux parisiens, le comédien et metteur en scène poursuit son exploration des classiques du romantisme en adaptant une pièce de jeunesse d’Alfred de Musset.
Metteur en scène, comédien, il est aussi un des premiers à avoir maîtrisé, tel un artiste, l’utilisation de la vidéo au théâtre. À l’occasion de l’arrivée au Théâtre des Gémeaux Parisiens, après deux festivals Off d’Avignon, de son spectacle Belles de scène, il revient sur son parcours et sa passion du théâtre.
En proposant cette adaptation très réussie du roman de Balzac, le théâtre des Gémeaux Parisiens – nouveau lieu de la capitale - inscrit sa programmation dans la diversité et la qualité.
Ce spectacle de la Tite Compagnie a été créé en 2015, en pleine commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale. Présenté à trois reprises au Festival Off d’Avignon, tournant en France et à l’étranger, cette belle fable humaniste arrive enfin à Paris au Théâtre des Gémeaux Parisiens.
En 2019, ces deux passionnés de théâtres ouvraient à Avignon le Théâtre des Gémeaux. Ce jeudi, ils inaugurent, en présence de nombreuses personnalités de la profession, son « grand frère » dans la capitale, le Théâtre des Gémeaux parisiens.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Plus de cinquante ans après sa création, la pièce de Robertot Athaye demeure un classique bien moderne.