Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
La deuxième semaine du festival montpelliérain fait la part belle aux épopées absurdes, aux soirées interlopes et aux fables tragicomiques sur les ravages de la guerre.
Pour l’ouverture de sa 38e édition, le festival de théâtre montpelliérain se place sous l’égide du dramaturge russe à travers deux de ses œuvres, "La Mouette" et "Platonov", dans des versions, revisitées ici entre tragicomédie almodovarienne et drame bourgeois chabrolien.
Avec « Baùbo : De l'art de ne pas être mort », Jeanne Candel y sublime le deuil et la perte en musique dans une célébration formelle délirante et jubilatoire.
Au gymnase du Lycée Saint-Joseph, Emmanuel Eggermont crée, avec All Over Nympheas, l’un des premiers uppercuts de cette 76e édition du Festival d’Avignon.
AU TNB, Ludovic Lagarde s’attaque à Quai Ouest de Bernard-Marie Koltès, avec un casting de rêve.
A l'Hypodrome de Douai, Milo Rau donne sa vision contemporaine de l'Orestie d'Eschyle.