Festival de la Cité

Je vis dans une maison qui n'existe pas de Laurène Marx © Lou Respinger

Laurène Marx au cœur des troubles dissociatifs

Après avoir évoqué sa transition dans “Pour un temps sois peu”, l’artiste non-binaire plonge, avec “Je vis dans une maison qui n'existe pas”, au plus profond de la psyché et porte au plateau, dans un conte contemporain, le récit d’un personnage neuroatypique.
13 avril 2024