Nouvelle direction, nouveau logo, nouveau look, le CDN de Tours ouvre ses portes en ce début septembre sous le signe de la convivialité, du partage et de l’hybridation des formes. Invitant habitués et néophytes, petits et grands à investir les lieux, la marionnettiste et metteuse en scène impulse un nouveau souffle foisonnant et pluridisciplinaire.
Peut-être plus qu'ailleurs, les festivals dédiés à la jeune création invitent à penser les formes à venir. Dans un moment d'inquiétude structurelle, le WET°, à Tours, dégageait quelques pistes au gré d'une programmation réjouissante.
À la comédie de Colmar, Matthieu Cruciani, co-directeur du lieu, monte la célèbre tragédie de Racine et offre à la comédienne un rôle à sa fascinante démesure.
Artiste associée de La Manufacture de Nancy, la metteuse en scène et marionnettiste adapte, en collaboration avec Nicolas Doutey, un des classiques du maitre de l’Absurde, Eugène Ionesco.
Pour sa dernière création en tant que directrice du TnBA, Catherine Marnas s'empare du "Rouge et le noir" de Stendhal.
En mettant en scène "Quartett", Jacques Vincey donne une partition de choix au duo Stanislas Nordey-Hélène Alexandridis.
Dans le Cadre du WET Festival du Théâtre Olympia, Hugues Jourdain présente Dernier amour, sa nouvelle création.
Au TNS, après plusieurs reports, Hélène Alexandridis se glisse dans les mots de Marie Ndiaye et incarne cette mère en quête de fils dans Berlin mon garçon, mis en scène par Stanislas Nordey.
Au CDN de Tours – Théâtre Olympia, Camille Dagen, Eddy D’aranjo et Emma Depoid mettent en commun leur savoir-faire pour offrir à la troupe permanente un objet théâtral ovniesque, kaléidoscopique et réflectif.
Au Théâtre Olympia, avant d'investir le TnBA, Jacques Vincey met en scène Grammaire des mammifères de William Pellier.