Au Théâtre de Vidy-Lausanne, la metteuse en scène franco-suisse s’empare avec agilité de la prose durassienne et donne au fait divers sordide des allures de roman noir décalé.
Au Théâtre de Carouge, Jean Liermier adapte pour les planches le film culte de Coline Serreau, sorti en 1992. Fidèle à l’œuvre originale, il met en lumière avec humour les dérives de nos sociétés, qui n’ont malheureusement pas pris une ride.
À la Maison de la Danse de Lyon, le chorégraphe israélo-britannique présente sa dernière création, une commande du Théâtre de la Ville-Paris qui explore nos imaginaires jusqu’à épuisement des ses treize interprètes.
Au Théâtre 14, la metteuse en scène et son complice au sein de la compagnie L’envers du décor, l’auteur Eugène Durif, s’emparent de l’œuvre inachevée de Büchner et signent un spectacle performatif à la mesure du talent démentiel de Bertrand de Roffignac.
Dans ce qui pourrait ressembler à un grand foutoir mais qui est en réalité une magnifique proposition artistique, faite de multiples touches, le collectif L’Avantage du doute continue de surprendre et de réjouir.
À l’Atelier de Paris, dans le cadre de la Swiss Dance Week en partenariat avec le Centre culturel suisse, la chorégraphe anglo-américaine, basée à Genève, présente sa dernière création, un feu d’artifice entre rire et larmes.
Ce spectacle écrit et mis en scène par Cécile Feuillet aborde à travers le jeu clownesque l’histoire d’une famille d’ostréiculteurs qui se débat contre les intempéries climatiques, sociétales et familiales.
Comment ne pas perdre la mémoire ? La question, au centre de la nouvelle pièce de Marcus Lindeen présentée au T2G dans le cadre du Festival d'Automne, donne lieu à un dialogue théâtral à l'écriture parfois faible, mais théoriquement riche.
Au beau milieu d’un plateau jonché de ballons dégonflés et d’emballages plastiques, Samir Kennedy dévoile un personnage atypique, une figure mutique qui ne s’exprime qu’en chansons, cannette de bière dans une main, micro dans l’autre.
Artiste associée au CDN de Normandie-Rouen ainsi qu' auThéâtre des Quartiers d’Ivry et à la scène nationale Grand Narbonne, Estelle Savasta présente sa nouvelle création, sur la reconstruction d’une vie après le désastre.