Au théâtre du Soleil, Simon Abkarian enflamme la tragédie des Atrides.
Au Lucernaire, Jalie Barcilon évoque la fureur de l'adolescence.
Le comédien, transfuge du Français, évoque l'univers singulier du compositeur honfleurais dans la pièce surréaliste de Laetitia Gonzalbes.
A la Pépinière Théâtre, Agatha Christie mène l'enquête.
Sans chercher à le singer, l’imiter, l’élève d’Aboville se glisse dans la peau du maître Bouquet. Reprenant les mots savoureux que le comédien a échangés avec Charles Berling, à l’occasion du tournage en 2001 de Comment j’ai tué mon père d’Anne Fontaine, le spectacle esquisse le portrait impressionniste d’un homme rare, vrai, qui manipule avec virtuosité l’autodérision. Un bijou de tendresse et de malice.
A Mogador, les fantômes de Ghost, le musical hantent la scène sans l'habiter vraiment.
Au lucernaire, Hervé Dubourjal s'empare d'un conte philosophique de Diderot.
Au Gymnase, Stéphan Roche conte les amours dévorantes de Rimbaud et Verlaine.
Beaux, virtuoses, désopilants, les cinq artistes québécois de la Machine à cirque brûlent les planches. Sautant dans tous les sens, entremêlant musique jouée en direct et performances circassienne de haut vol, ils enchantent petits et grands. Un véritable coup de cœur, un bijou à voir à la Scala cet automne.