Mohamed El Khatib et Israel Galván entremêlent sur scène leurs histoires familiales, leurs blessures intimes, et mettent à nu leur rapport conflictuel avec la figure paternelle.
En portant au plateau les mots de l’artiste londonienne Kae Tempest, Martin Jobert signe le portrait sans concession d’une génération de trentenaires passée à côté de ses rêves.
À la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, dans le cadre du Festival d’Avignon, Émilie Rousset explore les zones de friction entre droit et intimité à travers une succession d’entretiens reproduits in extenso.
Dans le jardin du Carmel d’Avignon, le compositeur et Adrien Cornaggia signent un conte musical et circassien qui explore les silences d’une lignée, les mots qui n’ont pas été dits, et la difficulté de dire « je t’aime ».
En s’emparant du roman de Maylis de Kerangal, Antoine Oppenheim et Sophie Cattani, du collectif ildi ! eldi, évoquent avec une poésie sobre les drames des migrants en Méditerranée. À Lampedusa, ils ravivent les fantômes de notre humanité vacillante.
À la Factory, la jeune autrice et metteuse en scène présente pour la deuxième année consécutive Monstres, une pièce autour du processus créatif. Alors que le Festival Off d’Avignon bat son plein, elle remonte le fil de sa mémoire et invite à entrer dans son univers.
Avec une fresque vivante et poétique d’une rare beauté, l’artiste albanais de 26 ans illumine le Festival d’Avignon et signe une déclaration d’amour silencieuse à toutes les femmes qui ont fait de nous ce que nous sommes.
Le Bolzano Danza Festival change de souffle. À sa tête, le duo rêve d’un événement joyeux, exigeant et profondément ancré dans le territoire. Récit croisé d’une rencontre et d’un projet qui entend faire dialoguer le sensible et le politique.
En s’emparant du texte de Ronan Chéneau, Steeve Brunet propose un spectacle immersif dans une salle du Tribunal judiciaire d’Avignon. Il donne à voir de près les rouages de la justice.
En adaptant le roman de Sedef Ecer, Victoire Berger-Perrin signe un spectacle émouvant, tout en glissements doux-amers, où se mêlent la mémoire d’une femme, les silences d’une fille et les blessures d’un pays qui vacille entre liberté et contrôle.
Entre cris du cœur et pulsations du corps, la première soirée de Rainbow Day & Night a lancé les festivités avec une intensité brûlante. Porté par La Magnanerie et le Théâtre du Train Bleu, l’événement mêle luttes, fiertés et célébrations dans une même respiration.
En partenariat avec Danse Dense, la Belle Scène Saint-Denis investit la scène à ciel ouvert de La Parenthèse avec deux propositions aussi distinctes que percutantes. D’un côté, un duo burlesque et électrique signé Zoé Lakhnati et Per-Anders Kraudy Solli, de l’autre, un solo tendu et acéré de Lucía García Pullé.
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