Au théâtre du Lucernaire, Marjorie Frantz réussit brillamment a redonner vie à la marquise de Merteuil et à Cécile Volanges.
À La Filature, scène nationale de Mulhouse, le Festival les Vagamondes invite cette année à une réflexion sur le genre.
Au théâtre de la Bastille, David Geselson reprend Le Silence et la peur, pièce créée en janvier 2020 au Théâtre de Lorient.
Au Théâtre Nanterre-Amandiers, Bruno Bayeux retrouve la troupe de Thomas Jolly dans Le Dragon d'Evgueni Schwartz.
Au théâtre La Flèche, Théo Delezenne signe avec «Jeudi» sa première création. Le jeune auteur, comédien et metteur en scène y fait montre de son talent dans un seul-en-scène vulnérable et émouvant.
À la Comédie de Reims, avant d’investir le Rond-Point en avril, Anne-Lise Heimburger met en scène Le Caméléon de et avec Elsa Agnès.
Pensé comme un "one shot" pour le TnBA, «Et pourtant, il gardait sa tête parfaitement immobile» est une plongée intime et ludique dans les tréfonds d'un cerveau tourmenté.
Dans la petite salle du Théâtre Ouvert, Laurent Charpentier se met en scène dans Grand-Duc d'Alexandre Horréard.
Au Théâtre Public Montreuil, Delphine Cottu rejoint, tout le mois d'avril, la troupe du Munstrum, pour présenter Zypher Z et Clownstrum.
À la Villette, dans le cadre du festival 100 %, Radouan Leflahi illuminera fin mars le Dom Juan cynique et dépressif de David Bobée.