Fruit de la rencontre entre la metteuse en scène Clémentine Colpin et Annette, cette pièce quasi documentaire conte avec beaucoup de grâce les milles vies de cette irrésistible retraitée belge.
Dans ce concert en solo, le pianiste Romain Dubois excelle avec une partition qui semble repousser à chaque minute un peu plus les limites de son instrument. Jusqu’à créer une transe collective, dont lui-même ne sort pas indemne.
Au Festival de la Cité, à Lausanne, la comédienne suisse Fanny Krähenbühl fait mouche avec un spectacle en forme d’exorcisme des colères accumulées en silence par les femmes.
La manifestation, qui s’est tenue dans le centre historique de Lausanne du 1er au 6 juillet, a fait la part belle aux premiers spectacles et aux performances engagées.
Au Festival d'Avignon Avec One’s Own Room Inside Kaboul, l’artiste Kubra Khademi et la journaliste Caroline Gillet prolongent l’expérience du podcast Inside Kaboul et plongent, par les moyens du théâtre, le spectateur dans le quotidien d’une femme afghane. Elles expliquent la genèse de ce projet.
Présentée à La Colline, cette première pièce écrite en solo par Virginie Despentes ressemble autant à un manifeste qu’à un spectacle de bande. Pas une révolution, mais un cri du cœur qui tombe à point.
À seulement 26 ans, le metteur en scène d'origine albanaise présente à Avignon MAMI, un spectacle à la lisière du théâtre et de la danse, dans lequel il célèbre les figures maternelles qui l’ont vu grandir. Rencontre.
Au studio-théâtre de la Comédie-Française, la metteuse en scène Sophie Bricaire adapte avec tendresse le célébrissime conte de l’italien Carlo Collodi.
À partir du roman de Tristan Egolf, le metteur en scène Paul Balagué et sa bande tirent un spectacle-manifeste aussi loufoque qu’explosif. Revigorant !
Pour sa 29ᵉ édition, la manifestation messine portée par Benoît Bradel se tourne résolument vers les décolonisations. À la clé, un premier week-end de spectacles aussi politiques qu’ambitieux, et des salles combles.
Le comédien Grégori Miège fait sensation sur la grande scène du théâtre du Nord avec ce texte en forme de manifeste contre la grossophobie dite « ordinaire ».
Le festival thaïlandais a mis en avant une nouvelle garde de jeunes artistes soucieux d’imposer des problématiques contemporaines au plateau : mémoire de la dictature, catastrophes naturelles, accélération de nos modes de vie…
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