Dans le cadre des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, la chorégraphe valaisanne présente une création habitée, entre souffle individuel et pulsation collective.
La compagnie fondée par Louis Arene et Lionel Lingelser présente sa nouvelle création où glauque et grotesque s’offrent en miroir. En adaptant, à leur manière grand-guignolesque, la pièce maudite de Shakespeare, ils invitent à une plongée dans les affres d’un anti-héros auquel le masque offre une tout autre dimension.
Pour leur nouvelle création, Louis Arene et Lionel Lingelser s’attaquent à l’œuvre maudite de Shakespeare, l’embarquent dans leur univers fantasmagorique et en livrent une adaptation survoltée, généreuse autant qu'excessive.
À la tête du Théâtre de la Manufacture - CDN de Nancy depuis 2021, l’artiste lorraine interroge passé et présent à travers deux pièces de son répertoire, Quatrième A (lutte de classe) de Guillaume Cayet et Le Menteur de Corneille. Connectée aux pouls du monde, elle fait de la scène un endroit de réflexion et d’émancipation.
Membre fondateur du collectif Bajour, l’artiste et interprète revit au Théâtre Public de Montreuil dans L’Éclipse, spectacle choral mis en scène par Leslie Bernard et Matthias Jacquin, ses premiers émois d’adolescent.
Créée en 2019 au Jerk OFF à Paris et présentée actuellement au Théâtre Public de Montreuil, cette plongée dans la relation trouble entre l'autrice et le jeune étudiant de 38 ans son cadet touche au sensible et aux dynamiques de pouvoir.
Après un passage au festival Mythos à Rennes en mars dernier, le collectif breton s'installe en décembre au Théâtre public de Montreuil et plonge à travers ce spectacle choral dans leur mémoire adolescente pour revivre leurs premiers émois amoureux.
À la Comédie de Valence, avant une belle tournée à travers la France, l’autrice et metteuse en scène revisite l’œuvre de Jack London et propose sa vision archétypale de nos sociétés occidentales contemporaines.
À Marseille, le Théâtre des Bernardines ouvre sa saison avec la nouvelle création de la compagnie Les Estivants, C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule.
Du thriller existentiel de Baptiste Amann, qui se joue actuellement au Théâtre Public de Montreuil, à sa propre prose ancrée dans un réel à peine dystopique, mise en scène par Aurélie Van Den Daele, le comédien navigue comme un poisson dans l’eau entre réalité et fiction.