Sans chercher à le singer, l’imiter, l’élève d’Aboville se glisse dans la peau du maître Bouquet. Reprenant les mots savoureux que le comédien a échangés avec Charles Berling, à l’occasion du tournage en 2001 de Comment j’ai tué mon père d’Anne Fontaine, le spectacle esquisse le portrait impressionniste d’un homme rare, vrai, qui manipule avec virtuosité l’autodérision. Un bijou de tendresse et de malice.
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