En proposant cette adaptation très réussie du roman de Balzac, le théâtre des Gémeaux Parisiens – nouveau lieu de la capitale - inscrit sa programmation dans la diversité et la qualité.
Après Sun and sea, l'artiste lituanienne fait son grand retour au Festival d'Automne. Au Théâtre du Rond-Point, elle poursuit, avec cet opéra, sa quête de musicalité dans le quotidien laborieux de caissières.
Le Théâtre Fontaine a une fois encore touché le gros lot avec ce spectacle façonné et interprété par de grands experts du genre. Les spectateurs ayant répondu très vite présent, c’est complet chaque soir !
En se glissant dans les mots de Marguerite Duras, sous la direction sur mesure de Jacques Osinski, la comédienne fait, après une dizaine d’années d’absence, un retour éblouissant sur les planches.
En adaptant la pièce maudite du dramaturge russe, considérée comme une œuvre majeure de la Russie communiste, Stéphane Varupenne signe une galerie de portraits grand-guignolesques et peine à en donner toute la dimension politique.
Le metteur en scène et réalisateur hongrois présente à l’Odéon-Berthier un drame familial hyperréaliste où les destins de trois générations de Juifs budapestois se confrontent à la mémoire de la Shoah.
Présentée au festival Cadences d’Arcachon, avant l’Espace chapiteau de la Villette, cette revisite de l’opéra de Henry Purcell raffinée, mais sans réelle aspérité, peine à convaincre.
Au Théâtre Montparnasse, Alain Sachs, metteur en scène auréolé de nombreux Molières, présente une version classique et colorée du chef-d’œuvre d’Edmond Rostand.
Portée par l’actrice sarde Caterina Murino, la comédie vénitienne met les domestiques à l’honneur et donne aux femmes le beau rôle sans pour autant faire mouche.
La chorégraphe et metteuse en scène, basée à Dunkerque, fait du TNP son terrain de jeu pour sa nouvelle création, une œuvre complète écrite et interprétée au cordeau.