Dans la petite salle de l’Essaïon, le chanteur et comédien se livre en toute intimité dans un tour de chant finement théâtralisé tenu par le fil rouge de l'ours, symbole de l’enfance et du temps qui passe.
Dans la petite salle de l’Essaïon, le chanteur et comédien se livre en toute intimité dans un tour de chant finement théâtralisé tenu par le fil rouge de l'ours, symbole de l’enfance et du temps qui passe.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Le théâtre de l'Essaïon se transforme en salle de classe pour recevoir une Madame Marguerite en pleine forme.
Dans la petite salle de l'Essaïon transformé en mansarde d'étudiant, la Cie des Âmes libres présente Un homme qui dort de Perec.
A l'Essaïon, la comédie de David Friszman, "Radicale", aborde intelligemment et préventivement le cancer de la prostate.
Au théâtre de l'Essaïon, puis au Festival d'Avignon, Philippe Nicaud présente son conte rock, inspiré de l'œuvre de Shakespeare, Macbeth.
Philippe Catoire fait revivre Valentine Tessier, grande comédienne du siècle dernier, et remonte le temps de l'histoire du théâtre.
En pleine introspection sur son art, Delphine Grandsart livre ses réflexions dans Regard(s).