Présentée dans le cadre du festival Pulse à l’Atelier de Paris, cette pièce jeune public de la chorégraphe Marion Muzac sera bientôt programmée au MAIF Social Club. Une invitation à mettre tous ses sens en éveil.
Présentée dans le cadre du festival Pulse à l’Atelier de Paris, cette pièce jeune public de la chorégraphe Marion Muzac sera bientôt programmée au MAIF Social Club. Une invitation à mettre tous ses sens en éveil.
À travers différents tableaux, traités comme des courts métrages, la Compagnie du Libre Acteur explore les chemins, calmes ou tourmentés, traversés par l’être humain au fil de son existence. C’est magnifique.
À Lyon dans le cadre du Festival Transforme, la chorégraphe brésilienne poursuit son exploration des matières qui nous entourent et invite à se laisser transcender par la lumière.
À Rennes, dans le cadre de la 27e édition du Festival Mythos, les membres du collectif rennais présentent leur dernière création, un spectacle choral autour des souvenirs adolescents et des premiers émois amoureux.
En s’emparant de cette pièce, Gil Galliot et les artistes du collectif niçois Oléa Compagnie Méditerranéenne font entendre toute la richesse de l’œuvre du dramaturge.
À la manière d’une archéologue, la danseuse et chorégraphe interroge la place des femmes dans l’histoire de l’art du XVe siècle à nos jours.
Seule en scène au théâtre de la Pépinière, la comédienne se glisse dans les mots de David Lelait-Helo et donne corps, jusqu’au vertige, à une mère face aux crimes indicibles de son fils chéri.
En s’emparant de l’œuvre maudite de Shakespeare, que beaucoup ne nomment pas par superstition, la metteuse en scène italienne signe une adaptation resserrée et cérébrale. Celle-ci se perd dans un esthétisme sépulcral cependant illuminé par la présence irradiante de Julie Sicard.
À Nanterre-Les Amandiers, la metteuse en scène, toute nouvelle directrice du Théâtre du Peuple, à Bussang, donne corps avec une délicatesse extrême au long poème de Paul Valéry. Subliment énigmatique !
Adaptant un roman de Marieke Lucas Rijneveld qui explore l'abîme moral de la pédocriminalité, Ivo van Hove pose des questions cruciales de représentation mais peine à convaincre pleinement.