Au TNS, un an après la création à l'Odéon, Chloé Réjon reprend «Comme tu me veux» de Pirandello, mis en scène par Stéphane Braunschweig.
L’adresse à Falk Richter, raccourci à son seul prénom tout au long de la pièce, inscrit d’emblée Un sentiment de vie dans un cadre précis. Claudine Galea, autrice associée au TNS, entame l’écriture sur commande de Frédéric Vossier, directeur éditorial de la revue Parages, pour son cinquième numéro, dédié à l’auteur allemand. Le texte est mis en scène une première fois par Jean-Michel Rabeux, avec Claude Degliame, au Théâtre de
À la MC93, Mélody Pini, sortie en 2019 de l’école du TNS, reprend Ce qu'il faut dire de Léonora Miano, mis en scène par Stanislas Nordey.
Au TNS, Anne Monfort s’empare de Nostalgie 2175 conte d’anticipation sur fond de catastrophe écologique de la romancière allemande Anja Hilling.
Au Théâtre Gérard Philipe – Centre dramatique national de Saint-Denis, Anne Brochet présente son premier seul-en-scène, Odile et l'eau.
Alors que le groupe 46 fait ses adieux à ce qui fut sa maison pendant plus de trois ans, quatre élèves de la section mise en scène présentaient, début novembre, leurs interprétations respectives de La Taïga court de Sonia Chiambretto. L'occasion de révéler des identités artistiques tranchées et singulières.
Au TNS, après plusieurs reports, Hélène Alexandridis se glisse dans les mots de Marie Ndiaye et incarne cette mère en quête de fils dans Berlin mon garçon, mis en scène par Stanislas Nordey.
Au TNS, dont elle est artiste associée, Anne Théron présente son adaptation de l'Iphigénie revisite par Tiago Rodrigues.
À la MC93, Marie-Christine Soma porte au plateau la dernière nouvelle de 7, roman d’anticipation de Tristan Garcia. Avec habilité, elle signe un seul-en-scène haletant que porte avec maestria le solaire Pierre François Garel.
Metteur en scène et musicien, Mathieu Bauer, épaulé par son collaborateur fidèle Sylvain Cartigny, met en scène le Groupe 46 du TNS dans Donnez-moi une raison de vous croire.