Embarquement sans crainte pour ce magnifique "Voyage en Ataxie" de Gilles Ostrowsky.
Chez lui, à la Colline, Wajdi Mouawad reprend sa pièce Mère, créée en novembre 2011. Une belle occasion pour les retardataires de découvrir ce magnifique spectacle, dans lequel l’auteur libano-canadien rend hommage à celle qui l'a fait naître.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Nicolas Vial met en scène Copenhague de Michael Frayn.
A l'Artistic Théâtre, Hugo Givort met en scène avec précision le magnifique texte de Michel Vinaver.
Artiste associé de Points Communs à Cergy-Pontoise, Volmir Cordeiro creuse avec Abri son obsession pour les lieux, qu'il s'agisse d'endroits « refuge » ou d'endroits « monde ». Face à l’état de nos sociétés, aux violences générées par les tensions et les fractures qui apparaissent de toutes parts, il nous propose de nous reconnecter à l’essentiel : notre nature intérieure.
Au Théâtre de Belleville, Vincent Dussart s’est emparé du texte de Denis Lachaud, rappelant à notre souvenir ce fléau qui raya de la carte des vivants toute une génération qui ne demandait qu’à vivre.
Aux Déchargeurs, « L’emprise » de Nejma Ben Amor, mise en scène par Charles Texier, donne la parole à une femme sous emprise.
Au théâtre des Calanques, Hubert Colas donne chair et corps au premier roman de Simon Johannin, L’Été des Charognes.
Dans le cadre du WET Festival du Théâtre Olympia de Tours, Guillaume Costanza donne corps aux mots de Charly Breton, dans Sous l'Orme.
«Déluge» de Laure Loaëc raconte la quête d’une femme et d’un homme pour sauver une planète pourtant condamnée et nous met face à notre avenir.