Vincent Gaillard raconte comment Romain Gary a réussi la plus grande entourloupe littéraire du XXe siècle en se créant un avatar, Émile Ajar. Passionnant.
À l'occasion de la reprise au théâtre de l'Atelier d'"Il n’y a pas de Ajar", excellent spectacle mis en scène et interprété par la non moins brillante Johanna Nizard, l’écrivaine et rabbin Delphine Horvilleur répond à nos questions.
S’inspirant brillamment de l’œuvre de Romain Gary, la rabbin Delphine Horvilleur nous offre avec «Il n’y a pas de Ajar» un grand moment de théâtre, porté par l’exceptionnelle interprétation de Johanna Nizard.
Franck Desmedt séduit par la qualité de son adaptation du célèbre roman de Romain Gary, La promesse de l’aube, et nous transporte par son exceptionnelle interprétation. Plus que jamais, l’amour maternel nous enveloppe comme un gros câlin !