À l’Athénée, après l’avoir présenté au TNP, Thierry Thieû Niang remonte avec Dominique Blanc, quatorze ans après sa création, La Douleur de Duras. retour sur une recréation.
Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.
Au TNP, 14 ans après sa création, la 538e sociétaire de la Comédie-Française se glisse à nouveau dans les mots de Duras et dans la mise en scène de Chéreau. Accompagnée sur ce chemin de mémoire par le chorégraphe Thierry Thieû Niang, elle habite la scène, fait sienne La Douleur de l’écrivaine et tutoie sensiblement l’âme humaine.
À La Colline-Théâtre national, Johanna Korthals Altes joue les imprudents, dans une mise en scène d'Isabel Lafon d'après les écrits de Marguerite Duras.
De la tempête au Théâtre 14, avant d’investir le plateau du Vieux-Colombier en juin prochain, Louise Vignaud est une jeune metteuse en scène fort occupée.