À l'affiche du théâtre de la Bastille dans le cadre du Festival d'Automne, le seul-en-scène mené par la révélation Cécile Laporte frappe aussi fort politiquement qu'esthétiquement.
Au cœur du Panthéon, la chorégraphe donne vie à un amoncellement de corps reliés entre eux par un fil invisible. Contraints à la lenteur, les sept interprètes livrent une performance moins âpre qu’on ne l’imaginait.
Programmé dans le cadre du festival Actoral à Marseille, le plasticien Théo Mercier imagine avec Skinless une fable au milieu des déchets, quelque part entre le post-appocalyptique et la quête de soi.
Présenté au Festival d'Automne avant un détour à Actoral, la deuxième création de la jeune chorégraphe franco-malgache émancipe les représentations diasporiques en ouvrant le champ à un beau quatuor d'interprètes.
En ouverture du Festival d’automne à Paris, dans le cadre sacré de l’Abbaye de Royaumont, le chorégraphe et le directeur artistique des Cris des Paris convient les spectateurs à un rituel inspiré des chants funéraires de la Renaissance.
Artiste fidèle du festival Montpellier Danse, le chorégraphe iranien y donne naissance cette année à sa dernière création, un délicat geste de liberté inspiré des célèbres contes persans.
L’artiste iranien fidèle de Montpellier Danse présente au studio Bagouet de l’Agora une libre adaptation du chef-d’œuvre de la littérature persane, Les Mille et une nuits.
En ouverture du Festival de Marseille, juste avant Montpellier Danse, la chorégraphe s’associe avec la jeune génération d’artistes sud-africains et fait pousser des fleurs chamarrées sur le sol aride de son pays, ravagé par la violence.
Après le Festival d'Automne, le comédien souvent associé à Sivadier reprend "Maîtres anciens" d'après Thomas Bernhard au Théâtre des 13 vents à Montpellier.
À La Villette, dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, le chorégraphe américain Trajal Harrell présentait "Maggie the Cat", une fête de la créativité pauvre.